une comédie familiale
Ah, Hespérange, cette charmante petite commune où les postes bien rémunérés se distribuent comme des petits fours lors d’un vernissage. Et qui est aux commandes ? Notre cher bourgmestre, Marc Lies, bien sûr ! Il a transformé la mairie en un club privé pour la famille, avec accès VIP aux emplois juteux.
La belle-fille du bourgmestre, qui a fréquenté l’école hôtelière (parce que, franchement, qui a besoin d’un diplôme académique pour poste à haute responsabilité ?), a décroché le poste de coordinatrice du fameux « pacte communal ». L’opposition a grincé des dents, mais Marc a simplement haussé les sourcils. Après tout, pourquoi se soucier des qualifications ? Le népotisme, c’est tellement tendance ! Qui a besoin d’un CV quand on peut simplement consulter son arbre généalogique ou sa liste de contacts Facebook ?
Le poste était taillé sur mesure pour la belle-fille, comme une robe Dior. Les autres candidats? Des amateurs! Ils n’avaient pas le petit truc en plus : des parents influents sur Instagram. Peut-être auraient-ils dû ajouter « fils de » ou « fille de » à leur CV ? Qui sait, ça aurait peut-être fait la différence !
Et pourquoi ne pas appeler ça de la corruption pure et simple ? Parce que « népotisme » sonne tellement plus chic ! C’est comme jouer au Monopoly avec ses enfants : ils finissent toujours par squatter les rues les plus chères. « Mon enfant, j’ai réservé un poste pour toi – au nom de la famille ! » Ça vous rappelle quelque chose ?
Alors, chère commune d’Hespérange, continuez à danser au bal des copains-copines ! Pourquoi se prendre la tête avec des critères objectifs quand on peut faire fonctionner la vieille machine familiale ? Et si quelqu’un ose demander pourquoi on n’appelle pas ça de la corruption, répondez-lui avec un sourire narquois : « Parce que la corruption, c’est tellement impersonnel, mon enfant ! »
Et pour ceux qui veulent en savoir plus sur les péripéties de la commune, consultez la page Facebook de « La question parlementaire la plus stupide ». Vous y trouverez des perles, croyez-moi ! ▼
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